Convocation Générale

Après son terrible combat psychique face à l’assassin de son frère, dont il avait pus triompher grâce aux efforts conjuguer des généraux Arawynn, et Vachaldo, ainsi que des fidèles et vaillants membres de la légion Achéron, Ménétak s’était rapidement rétablis de ses blessures.

Mais dès qu’il fut a nouveau sur pied, il prévint très rapidement ses frères spectres qu’il devait repartir en urgence en voyage, mais refusa catégoriquement de dires un mots sur ses intentions.



40 Jours passèrent, quand par un radieux matin de printemps…



La salle d’entraînement du Nekyomanteion

Un jeune spectre, grand et fin, était en train de soulever des masses de fontes gigantesques, ce qui avait pour effet de le faire transpirer a grosses gouttes. Ces cheveux de couleur violette lui collaient aux visages, et ses yeux gris-vert exprimaient une détermination sans faille… C’est alors que quatre gardes en armes surgirent dans la salle et s’adressèrent sèchement au jeune homme.

« Spectre Picci, vous êtes convoquez immédiatement, dans la salle de réunion de la Légion Achéron. Veuillez bien nous suivre et sans résistances. »

Le jeune homme, habitué a être obeissant les suivit, non sans ce demander ce que tout celà voulait bien dire, et se disant qu'aux besoin il n'hésiterait aps a a avoir recour a la force...


Dans une profonde foret de Grèce, bordant les terres du Seigneur des Enfers.

Une biche dévorait quelques buissons paisiblement sans se douter du sort funeste qui la menaçait. Caché dans un arbre tout proche, un jeune homme bandait son arc tout doucement, en visant bien le cœur du splendide animal… Il retint son souffle et lâcha sa corde, une fraction de seconde après qu’une bruyante détonation due à un pied peu familier à cet environnement ne casse une branche bruyamment. La biche disparut en un éclair, et l’instant d’après le jeune homme courouçé pus voir les responsables de son échec entré dans la clairière. C’était quatre gardes de l’Armée du Royaume des Morts transpirant sous leurs armures qui surgirent.

Bandes d’imbécile !!! Leur hurla l’homme ! Avez-vous au moins ce que vous m’avez fais raté !!!

Le plus grands des gardes s’avanca immédiatement la main sur son fourreau.

Etes vous le dénommé Dieu des Glands ?

Oui, pourquoi, répondit il sèchement.

Les trois autres l’entourèrent immédiatement, et le chef de bandes lui rétorqua :

Suivez nous immédiatement, et sans faire d’histoire, vous etes attendue d'urgence!!!


Dans la très fournie et très riche bibliothèque des Enfers.

Un spectre étudiait assidûment de très ancien parchemin traitant de techniques oubliées. Au milieu de nombreux manuscrits il était seul avec sa lampe a huile, et semblait tellement passionné par ce qu’il lisait qu’il n’entendit même pas arrivé les 4 gardes qui se placèrent autours de lui.

Etes vous le guerrier Chevalier Mort ? Lui dit celui qui semblait être leur capitaine

L’homme était tellement absorbé par ses lectures qu’il manqua d’en tomber à la renverse et de briser sa lampe, ce qui aurait crée un incendie et quelques sérieux soucis pour lui. Surtout que les appartements de l’Oracle Mandos, juxtaposaient ce bâtiment…

Hein ? Quoi ? Comment ? Oui, mais qui êtes vous ?

Sur ordre de votre supérieur, vous être prié de nous suivre immédiatement ! Lui répliqua durement le leader, en lui arrachant la lampe des mains.


Sur la place du marché de la ville d’Arta, toute proche des terres d’Hadès.

Un jeune homme regardait avec avidité des poulets en train de tourner sur un tournebroche. La salive lui envahissait le palet et son estomac gargouillait bruyamment. Il venait il y peu de finir une corvée de 3 jours, pour la Légion Achéron et était affamé. Le problème était qu’il n’avait pas un sous sur lui, ses poches étant aussi vide que l’esprit d’un serviteur de Poséidon… Une horrible idée germait dans ses pensées, celle de profiter de ses capacités dut à sa relative maîtrise de son cosmos pour voler un poulet ou deux, sans que nul ne s’en aperçoivent…

Quatre gardes surgirent alors et lui barrèrent tout chemin.

Hein ? Mais …j’ai encore rien fais !!! S’écria t’il.

Etes vous le membre de la Légion Achéron nommé Yamreg ?

Ben…heu oui…pourquoi ?

Les quatre hommes se raidirent desuite.

Suivez nous de suite !!!! Dirent ils tous d’une même et puissante voie.


Dans la forge de Pirithoos, forgeron des Enfers.

Un jeune spectre ce faisait réprimandé par le puissant forgeron.

Tu as encore brisée ton armure, Taira Tomori !!!mais ça fais combien de fois déjà depuis la dernière lune, dit il en regardant l’armure fracturé.

Bah heu seulement trois fois, fut la faible défense du fautif.

Oui, mais la nouvelle lune n’a commencé que depuis 5 jours !!!!Dit en hurlant le forgeron-diplomate.

Mais heu, mais c’est ma faute, c’est ce chevalier aussi, il a fallut que son crâne vienne se fracasser dessus !!! J’y suis pour rien moi si ils ont la tête si dure !!!

J’en ai marre…dit piteusement Pirithoos…ho non, en voilà 4 autres…pffff, vous voulez quoi vous ??? En plus vos armures semblent en parfait état non ?

Nous ne sommes pas venus pour vous Seigneur Pirithoos, répondit respectueusement le sergent, mais pour lui, dit il en désignant le jeune métis.

Moi, mais qu’ai-je fais ??? C’est quand même pas pour les armures ? dit il en regardant Pirithoos.

J’aimerais aussi savoir pourquoi sergent.

Bien sur Seigneur, dit il en lui tendant un parchemin marqué sceau de la Légion Achéron.

Le Diplomate le lut rapidement, et un mince sourire s’esquissa sur ses lèvres.

Emmenez le Sergent, dit il sèchement.


Dans la taverne des Murmures, lieu de rires, de rixes, et de rencontres.

Une jeune femme, semblait s’ennuyer a la table d’un jeune homme étant visiblement peu familier des boissons proposés dans l’établissement.

…et c’est comme çà qu’il ai devenu Général de la Mouche ! Oui Madame !!! Dit le jeune guerrier a la chaise occupé encore il y a peu par la donzelles a bout de patience.

Ben ou elle est ? dit il en balayant la salle du regard. Celui-ci bien que flou s’arrêta sur quatre hommes d’armes, allant dans sa direction.

Oulàlà….fut sa pertinente réaction.

Les quatre hommes l’entourèrent très vite, et lui demandèrent fermement de le suivre, après avoir eu confirmation par le tancier de l'etblissement que cet homme etait bien Cwiss, un de "ses meilleurs clients" voulu t'il ajouté

D’accord…furent ses violentes protestations.


[hrp] je vous demande a tous de bien vouloir suivre les gardes sans trop faire d'histoire. Merci [/hrp]

[hrp2] Pryccho je t'ai pas intégré volontairement, me disant que vus ta position d'ancient responsable et ton probable manque de temps IRL tu ne collais aps au scenar mais si tu le demandes je t'y met sans pb [/hrp]

Dans une profonde foret de Grèce, bordant les terres du Seigneur des Enfers.

Depuis plus d'une, heure je la pistais, et enfin el s'arrêtait pour se nourrir. Je scrutai les alentours mais ne vit aucun point qui serait favorable pour tirer, les buissons étant trop épais. Il me fallait grimper dans cet arbre, ce n'était pas idéal, mais c'était la meilleure solution.
Usant de toute la discrétion dont j'étais capable, je montai, m'aggrippant aux branches les plus solides afin qu'aucun craquement n'éveille ses soupçons. Je parvint enfin à une grosse branche, pas trop haute, dénuée de feuilles, ou presque. Enfin je put me concentrer, bander mon arc. Je retint mon souffle : ma cible n'avait plus la moindre chance de survie.
A moins que...

CRAC !

A moins que quatre loudreaux armés ne passent dans le coin et fasse fuire cette splendide biche. Quatre gardes de l'armée du Royaume des Morts, transpirant sous leurs armures, pour être exact.

Furieux d'avoir manqué ma cible à cause d'eux, je sautai de mon arbre et leur hurlai :

"Bandes d’imbécile !!! Savez-vous au moins ce que vous m’avez fait rater !!!"

Le plus grands des gardes s’avanca immédiatement la main sur son fourreau.

Etes vous le dénommé Dieu des Glands ?

Oui, pourquoi ?, répondis-je sèchement.

Les trois autres m’entourèrent immédiatement, et le chef de bandes me rétorqua :

Suivez nous immédiatement, et sans faire d’histoire, vous etes attendue d'urgence!!!

Le ton de cet homme ne me plaisait guère, pas plus que son air lourdeau qui n'avait pas sa place dans cette forêt. Le mot qu'il avait employé, "d'urgence", m'inquiétait mais je ne pus m'empêcher de répliquer. Etre direct et grossier n'était sans doute pas la meilleure chose à faire étant donné qu'il s'agissait visiblement de la spécialité de cet homme.

Je lui répondis donc d'un ton mielleux : "Veuillez m'excuser de m'être emporté : ce n'est pas de votre faute si les branches sont si fragiles. J'ai déposé mes affaires à côté de cet arbre, auriez-vous l'amabilité de récupérer la flèche que j'ai perdue par la faute de cette branche ? Nous sommes pressés, après tout. pendant ce temps j'irai récupérer mes affaires."

Je fis demi tour sans même lui laisser le temps de répondre, un sourire au con des lèvres et me dirigeai pour le petit paquet qui me servait de sac. Je pensai soudain que parler ainsi n'était pas dnas mes habitudes. Peut-être était-ce l'influence de certains de mes camarades, ou alors ce soldat, qui me paraissait si vulgaire, me poussait-il à parître plus raffiné que lui.

Je gardai dans un coin de ma tête qu'il fallait encore lui demander ce qui était si urgent, en espérant que cette petite rebuffade lui ai rappellé la politesse minimum que chaque spectre devait aux siens.

Les quatre gardes encadrèrent Taira Tomomori
« Donnez nous votre arme et suivez nous sans discussion »


« Mon mentor m’ordonne de vous suivre, alors je vous suivrai, mais nul autre que moi ne portera ma naginata tant qu’il me restera un souffle de vie… »

L’un des garde se tenant derrière Taira lui saisit le tira par l’épaule en criant
« Tu oses te dresser contre nous….aaaaaaaar »

Soudain il sentit sa main perdre toute vie et un hurlement de douleur suivit d’un mouvement réflexe le sauvèrent des conséquences douloureuses de son mouvement.

Le garde posté à sa gauche, cria ; « HAALLTE , pas de geste inconsidéré. Qu’il garde son arme, du moment qu’il nous suive. Sache que c’est un gardien des enfers qui te demande… »

« Qu’attendez vous alors,… »
Taira empoigna le garde tombé à terre et dans un mouvement vif et violent il tourna sur lui même armé de sa naginata….
« Voilà, vous marcherez plus vite comme ça »
À peine eut il prononcé ces mots que les quatres armures des gardes tombèrent en miette.

Au moment ou je venais de demander a taira s'il savait le sujet de cette convocation par des gardes complmentement débile qui avaient eu le don de m'enerver de l'interieur, mais bon il ne fallait pas que ma colère me gagne car quelque que chose d'étrange était en train de ce passer, d'un coup un puissant éclair illumina toute la pièce. Une zone d’ombre fut alors découverte. Une zone où se trouvait le Trône du Responsable de la Légion Achéron, les jambes croisées, la tête appuyé sur la main droite. Un Cosmos mauve bien plus puissant que dans les souvenirs des jeunes spectres l’entourait et rappelés à toute, la notoriété qu’il avait sue acquérir dans les Armées d’ Hadès. Dans son regard améthyste, se lisait un mélange d’affection et de sévérité.

A l'a vu de mon responsable je n'y croyais, il etait la et bien la devant nous dans le siège qui avait était le mien durant son absence, j'aurais du etre atristé de perde mon sastit de responsable de remplacement mais se fut pas le cas au contraire j'étais heureux et comblé de son retour car c'est bien le seul et l'unique responsable de notre légion.

Je me mis a regarder mes frères avec une regard remplie de joie, car je ne pouvais pas prononcer la moindre parole telment j'étais sous le choc

[hrp]POur info menechounet ma couleur de rp c pas pink mais lightgreen [/hrp]

oubliant cette mésaventure nous partîmes pour le Temple de l'Achéron, vite, très vite.
En chemin des pensées inquiétantes m'envahirent; "que se passe-t-il? Les nouvelles sont elles graves?" Mais en même temps l'approche de notre refuge me réconcilia avec le monde de cruauté qui m'entourait.
Un étrange sentiment de bien être provoqua des frison dans mon corps lorsque je vis mes compagnons d'arme;

« Alors Taira, sais tu pourquoi nous sommes là ?» me demanda Picci.

« Je n’ai pas la moindre idée » Lui rétorquais-je...

Mais un souffle chaud coupa net notre discussion....ma naginata se mit à vibrer et mon cosmos avec...

Ce n'est pas possible.....quand, depuis quand?
Je magenouillai par respect, mon avenir afin s'irradie à nouveau de votre présence... mon guide.....

Ces abrutis de soldats qui m'avaient dérangé pendant la chasse ne m'avaient vraiment pas plu, et je ne me retins pas de les effrayer, histoire qu'ils se tiennent tranquilles.
Pendant notre retour, je leur imposai une marche soutenue, si bien qu'ils eurent du mal à suivre. Cependant, je ne les semai pas : ces lourdeaux devaient encore m'apprendre ce que je voulais savoir.

En cours de route, j'appris ainsi qu'ils ne savient pas grand chose et quand ils m'apprirent que certains de leurs compagnons avaient été chargés de ramener les autres membres de l'Achéron, je ne fus pas surpris. Je les sentais déjà dans un coin de mon esprit, rentrer au bercail, tout comme moi. Je fus seulement frustré d'être tombé sur les gardes les plus lourdeaux et imbéciles - du moins l'espérais-je pour mes compagnons.

Enfin nous arrivâmes au Nekyomanteïon et je fus soulagé d'être débarrassé de mon escorte. Très vite, tous les membres de la légion arrivèrent et je compris aux dires de mes amis qu'ils n'avaient pas été mieux servis que moi en ce qui concernait les compagnons de voyage. Enfin, en dernier lieu, Taira arriva.

Quelques secondes s'étaient écoulées depuis son arrivée que déjà notre responsable entrait en scène. Apparemment, il se trouvait déjà là et nous attendais. Je notai dans un coin de mon cerveau qu'il n'aurait pas été capable de tromper mes sens si facilement, il y a quelques temps, et encore moins ceux de toute notre légion.
Je notai aussi que ça devait l'arranger, lui qui aimait être spectaculaire.
Mais par dessus tout, je je me sentis comme revigoré par sa présence. Je sentais que notre légion était devenue entière, grâce à lui. Je voyais dans chacun de mes compagnons le même air qui devait sans doute s'afficher sur mon visage : un air réjouis - voire comblé - et respectueux, et aussi confiant.
Oui, confiant. Je nous sentais déjà redevenir forts. La légion Achéron était de retour, unie et imbattable.
Comme mes amis, je portai mon regard sur notre chef, Ménétak, et attendit qu'il prit la parole.

La réaction de Ménétak qui suivit l'instant de stupeur et d'émotion qui avait eu lieu ne fit que confirmer ce que j'avais deviné : Ménétak avait beaucoup changé, dumoins en force.. Pour le reste, nous n'allions pas tarder à le découvrir, me disais-je.

Comme pour nous montrer à quel point il avait changé, notre responsable - après avoir parcouru des yeux les membres de la légion, et enfin s'être levé s'être levé - fit exploser tout son cosmos, en tout cas une quantité impressionnante de cosmos, et hurla, en renforçant encore cette confiance qui avait envahie mon esprit, " C'est bon d'être à la maison !!!"

Les retrouvailles commencèrent alors : Ménétak s'avanca vers chacun de nous et nous salua chacun chaleureusement. On puvait lire le bonheur qu'il avait de nous retrouver, et c'était réciproque.
Mais...

"Ménétak. Je pense parler au nom de la légion en affirmant que ces retrouvailles réjouissent chacun de nous au plus haut point, mais autant aller droit au but : si tu nous a tous fait demander d'urgence, c'est qu'il se passe quelque chose de grave.", dis-je en fronçant les sourcils, d'inquiétude.

Oui... Être ainsi réuni, enfin, me donnait une sensation de joie et de confiance, et je ne doutais pas de nos capacités - bien au contraire - mais si on avait besoin de nous qui étions dispersés, alors que d'autres légions devaient être présentes au Nekyo, ce n'était certainement aps sans raison...

un genoux à terre aux côtés de mon frère Chevalier mort, Ménétak se leva et inonda la salle de son cosmos qui, à mes yeux s'était décuplé... En cet instant la force moral de mon maître vibra en moi et je senti tout le bonheur qu'il avait à nous revoir. Ma naginata vibra d'un son que je ne l'avait jamais entendu produire...
Je ne sais pas si j'entendis ou sentis au plus profond de mon être, Ménétak s'exclamer; " C'est bon d'être à la maison !!!"

Il s'approcha de moi et Chevalier mort et posa une main sur nos épaules. Une chaleur douce m'envahi et je compris que notre maître avait compris, par ce contact, les épreuves que nous avions enduré en attendant son retour.

"Merci capitaine d'être revenu et merci de la force que tu nous transmet en ce moment." pensais je au plus profond de moi.

A peine eut il clamé sa joie d'être parmi nous que mon frère Dieu des Glands l'empressa de nous dire les raisons de cette assemblée.

"patience, mon frère, tu a la sagesse de te considéré au stade de glands mais il te faudra plus de patience pour devenir un chêne." pensais je.

Mais notre maître ne fut pas importuné par cette requête. Je pensai alors que j'avais encore beaucoup à apprendre des moeurs de ces contrées.

Nous recevâmes ensuite de somptueux cadeaux, et quand vint mon tour. Ménétak déclara Ce Tento, Taira Tomomori, m’a fais me déplacé jusqu’au bout de ce monde. C’est la larme du Soleil dit-on versé par le Soleil lui-même devant le malheur des hommes. Accepte ce modeste don comme la preuve de mon respect à ton égard. »


Lorsque je vit cette lame, mon coeur explosa de joie;

ASAHI NO NAMIDA pensais je, ce n'est pas possible.
Je m'empressai de retirer le manche pourvue de bijoux, probablement ajouté par une personne ignorant la valeur de cette lame, et la le doute ne fut plus permis. La signature du forgeron; Masamune ...... Une larme ruissela le long de ma joue...J'assemblai la lame un un manche plus maniable et la rangea dans mon obi.
Je saluai mon maître pour ce présent , Merci moncapitaine.

Il me tarde de montrer ceci à Pirithoos

« Ce présent évidement t’es destiné Dieu Des Glands. C’est un Gland d’Yggdrasil. L’Arbre-Monde. J’ai dus le glaner sur le cadavre fumant d’un adversaire redoutable, qui se disait être un Guerrier Divin répondant au nom de Valken, dans les Terres Glacés du Nord également. C’était un brave…Nul n’a jamais réussi a voir cet arbre mon ami…mais peut-être toi, y arriveras tu ? »

Mon chef venait de m'offrir un gland, mais pas un gland ordinaire. J'eus le souffle coupé lorsque je le vis et que j'entendis ses paroles. Toute mon attention, jusqu'alors portée sur la femme qui m'apportait ce présent, se dirigea vers le petit fruit.
Il brillait un peu et provenait de l'arbre monde. Un gland de l'arbre monde Yggdrasil... C'est une véritable relique. c'est un cadeau merveilleux, et de plus le guerrier qui le possédait devait être puissant. A la pensée de ce que Ménétak avait fait pour moi, je fus véritablement ému et plein de reconnaissance.

"Ménétak, ce que tu m'as ramené et ce que tu as fait pour l'obtenir...Je... c'est merveilleux."

Je savais que l'arbre monde n'était pas un arbre ordinaire. Il l'a d'ailleurs dit lui-même : "nul n'a jamais réussi à voir cet arbre". Et ce gland était luminescent, en plus. je notai qu'il fallait que je me renseigne sur le sujet.

Tout émerveillé par le cadeau que je venais de reçevoir, j'entendis soudain en retard ce que Cwiss avait dit : "Mes frères, a partir de maintenant, grace a Ménétak notre chef, je réparerais vos surplis abimés par vos adversaires. Ce marteau devrait pouvoir en faire des surplis uniques en leur genre..."

Je regardai mon armure de cuir frappée de mon insigne et imaginai ce qu'elle pouvait devenir grâce à cwiss et son marteau.
Chacun d'entre nous avait reçu un cadeau merveilleux et le chef avait du souffrir pour les obtenir. Nous avions beaucoup de chance d'avoir un tel responsable...