Une reine en enfer ...

J'essayais d'écouter mon compagnon, mais ma rage ne pu se taire. Mon âme réclamait le sang répendu de celles qui étaient la sources de toutes les discutions.

Pascaline (d'une voix sombre accompagné d'un leger sourire): "- Albéric, mon frère, ne t'en fais pas... De la force, j'en ai à leur faire cracher leur foi. Et si je suis vaincue au premier affrontement, crois-moi sur parole: je n'en perdrait pas pour autant ma volonté et ma loyauté envers Hadès. Je donnerai jusqu'a ma vie pour que le Nekyomanteion ne soit pas souillé par les ricanements de ces nymphes."

Un garde entra dans la salle, et me remis une missive. Je la lisais attentivement et, une fois terminée je disais :

- Mes frères, je me dois de partir combattre ces nymphes, Calchas est porté manquant suite à sa victoire contre les nymphes. Je dois porter main forte à nos compagnons de la légion Eridan. Je reviendrai vous prévenir de la suite des opération, en attendant préparer vous à défendre le Nekyomanteion.

Mt Olympe

Bennairo suivait ses compagnons sans intervenir. Il s'amusait de voir comment Pascaline avait une rage de se battre et albéric, fort de son expérience contre les nymphes, essayait de la calmer.

- Pascaline, nous comprenons ce que tu ressens. Il en est de même pour moi... mais il ne faut pas y aller la tête baissée, c'est le meilleur moyen pour perdre un combat. Je pense que nous devons encore attendre un peu en nous entrainant et en elaborant un plan sans faille.

Puis se tournant vers Vachaldo:

- Vachaldo, nous attendons donc la stratégie que nous allons adopter, nous pourrons ensuite emettre nos avis et même des idées pour adopter la meilleure qui soit. Albéric nous a déjà dit que les nymphes étaient rapides, il serait peut être judicieux de se battre d'une manière plutot qu'une autre...

Il pensait a son précédent combat où il avait tellement explosé son cosmos qu'il avait terrassé son adversaire en 2 coups.

Je stoppai toute émanation de son cosmos au dernier mot de Bennairo. Je me retournai vers lui et, dans un mouvement si rapide que personne ne puit voir quoi que ce soit, me plaçai dans le dos du spectre. Je fis glisser ma main le long de sa joue et portai ma bouche à son oreille pour lui murmurer :

Pascaline : "- Aaaaah ! Tu comprends ce que je ressens ?… Je vois, je vois ! Monsieur connaît tout de moi ! Monsieur est un ancien ! Monsieur a une force si prononcé qu’à ses yeux, une petite mercenaire débutante est assez fougueuse pour se laisser tuer dans une rage stupide !... Mais connais-tu la différence entre la précipitation et le gain de temps ? Sais-tu combien je méprise les êtres qui se sentent si fort qu’ils se permettent de rester autour d’une table à bavasser pendant que l’ennemi approche plutôt que de suer à un entraînement qui les mènerait vers la victoire ? Imagines-tu combien je peux être frustrée à l’idée de cet appel sans intérêt durant lequel je n’entends que le mot nymphe ? Je suis certainement moins douer que toi, Bennairo, mais si je suis assez discipliné pour subir les réprimandes de mes supérieurs, je n’admettrai en aucun cas qu’un « laquai », si puissant soit-il, m’insulte en se trompant ainsi à mon égard…"

[HRP:] plus d'internet a la maison depuis dimanche, youpi, desole du retard ![/HRP]

La jeune spectresse, toute etonnée de voir Pascaline, sa consoeurs, dans une telle colère, un tel énervement.
Il ne fut que queleus secondes pour que Scralma comprenne ce que pouvait ressentir Pascaline.
Elle se leva posa sa main sur le haut de son dos et lui dit d'une voix douce (une voix douce qu'elle prenait auparavant pour attirer les hommes et les tuer) :

- Pascaline, viens avec moi, j'ai a te parler.

Pascaline suivit Scrala et allèrent dans un coin de la salle.

- Pascaline, je sais et je le sent que tu es enervée, mais ce n'est pas un énervement comme les autres.
Nous sommes pectresse et de ce fait un lein nous unis. Certaines sentiments qui nous habitent sont a la fois plein de passion, mais egalement de colère, d'énervement, de crainte. Nous nous posons énormément de questions ...

Lorsque quelques chose nous tiens a coeur, ce sont els enrfs, c'est notre hargne et norte complet devouement pour norte seigneur Hadès qui parle, et non réelement nous, et non notre conscience ...

C'est pour cela que tu dois essayer de regagner un certain calme (puis elle fit un clin d'oeil a Pascaline).
Beinnaro est norte frère d'arme dorénavant. Nous avosn tous notre caracetre, notre vécu, nos combats ... mais par ce clan nous sommes réunins pour combattre ensemble, nous représetons le Styx. Il ne faut jamais l'oublier.

Et puis ... dit-elle en souriant, ... tu sais autant que moi que les hommes, et surtout les pectres !!! pensent différament de nous. Une spectresse c'est une personne de douce et d'extremement forte a la fois.

Donc essaye de regagner ton calme, et n'oublie pas qu'une chose nous unis donc profite en, sinon tu va faire mal a beinnairo ;).

Les deux spectressent rejoignirent les autres spectres.

A présent calmée, je fermai les yeux. Puis, quelques secondes durant, je profitais du silence qui règnait. Le temps de le rompre venu, je m'adressai à Bennairo en souriant:

Pascaline: "- Si tu as, maintenant, compris que tu n'as pas à douter de mes compétences au combat, je te prie de bien vouloir pardonner mon geste, quelques peu... exagéré! Il adviendra de moi, contre nos ennemis, ce que le destin me réserve, mais en aucun cas, je compte commettre quelque erreur que ce soit!"

Après ces mots, je me plongeai dans une méditation, en attendant que vachaldo revienne. Cela furent, certainement, les dernieres parole que l'on m'entendis prononcé avant cela.

La longue tirade de pascaline l'avait blessé au plus haut point, il n'aimait pas être traité de la sorte . Bennairo allait remettre cette spectresse en place quand Scrala le devança et parla a pascaline dans un coin de la pièce. de retour apres leur courte discussion, pascaline s'adressa a Bennairo en souriant:

"- Si tu as, maintenant, compris que tu n'as pas à douter de mes compétences au combat, je te prie de bien vouloir pardonner mon geste, quelques peu... exagéré! Il adviendra de moi, contre nos ennemis, ce que le destin me réserve, mais en aucun cas, je compte commettre quelque erreur que ce soit!"

Bennairo sourit alors à son tour, la tension était tellement grande que cette situation prenait une ampleur disproportionnée. Il s'adressa alors a la spectresse sur le ton amical:

- tu es excusée pascaline, et je n'ai jamais douté de tes compétences au combat. Sache seulement que je ne m'adressais pas à toi en particulier. ce que j'ai dit était seulement une erreur commise dans le passé et qui a failli me couter la vie. J' espère vraiment qu'aucun d'entre nous ne commettra dans cette erreur de débutant.
Cet incident et en tout cas oublié pour ma part. Je met cet élan de fougue sur le compte de cette attente interminable.
puis se rapprochant d'elle pour que personne d'autre n'entende:
- tu es vraiment charmante quand tu parles comme cela...

A cet instant, le général de la défence, Arawynn, entra dans la pièce et tout le monde se tourna vers lui. Il avait une déclaration à faire...

Puis, ce fut le moment pour moi de sortir de ma méditation. Je guetais, à présent le moindre mot d'Arawynn.

Arawynn venait de nous quitter et notre curiosité, bien que quelque peu étouffée par le compte rendu de la situation, était, cependant, persistante.
Consternée par le discours du général, Je marmonais discrètement:

Pascaline: "- Oh! Merci général! nous en savons bien plus, à présent! Cependant, nous n'avons toujours pas de directives! Où est donc passée la stratégie que vous nous annonciez il y a si peu de temps?"

Puis, décidant de laisser passer ce manque, j'écoutai les dires de notre supérieur et, suivant ses pas, repartai pour la salle d'entrainement, après avoir laissé ses quelques mots à mes compagnons:

Pascaline: "- Je n'ai pas été très aimable aujourd'hui... Ce n'est pas dans mes habitudes, mais je suis consciente d'avoir été pire que d'accoutumée. Veuillez m'en excusez, mais vous comprendrez que la situation actuelle n'encourage pas à la diplomatie..."